Ingérop
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Geos a fait le choix de ne pas avoir de moyens d'investigations des terrains, et c'est une limitation dans certaines de ses actions (nécessité de sous-traiter, concurrence difficile sur certains sujets, etc). Par ailleurs, le coût du suivi de terrain est souvent élevé car il requière de la main d'oeuvre et des moyens techniques pour ce faire : des missions de topographe ou d'inclinométrie peuvent rapidement monter à plusieurs dizaines de milliers d'euros. Geos a déjà entamé des actions pour réduire ces coûts, par exemple en développant l'emploi du drone pour faire les relevés.
Une autre idée que l'on propose d'étudier est de valoriser les données satellitaires basse altitude (Copernicus) pour faire du suivi de terrain. Les cas d'usage envisagés sont : mouvements de terrain, détachements de blocs rocheux, suivi de travaux souterrains. L'avantage du suivi satellitaire est qu'il offre un suivi périodique et régulier, qui peut en outre remonter assez loin dans le temps. Les satellites...
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Etudiant(e) de dernière année en école d'ingénieur spécialisée en géomatique, autonome et enthousiaste, prêt à relever les manches.
Des connaissances géotechnique et géologie sont valorisées dans l'appréciation de la candidature.
Personne en situation de handicap ? Ingérop s'engage au quotidien, viens rejoindre nos équipes !
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